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17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 09:23

Vu sur Télérama.fr :

 


http://images.telerama.fr/medias/2011/05/media_68827/la-deuxieme-resurrection-d-atys,M53366.jpg
Atys sous l'empire du Sommeil (Gil Isoard) / Photo : Pierre Grosbois pour l'Opéra Comique
SUR LE MEME THEME

Jean-Marie Villégier, metteur en scène du Grand Siècle | 16 mai 2011

Vingt-quatre ans après la résurrection d’Atys, l’opéra de Lully que Louis XIV préférait, l’Opéra-Comique remonte à l’identique cette production qui a fait date dans l’histoire du spectacle : la magie en est intacte, l’enchantement opère comme au premier soir. Mise en scène, chorégraphie, décors, costumes, tout a été scrupuleusement refait, et pourtant, rien à voir avec un simple « copier-coller » dramaturgique. !

C’est qu’entre Atys-1987 et Atys-2011, presqu’un quart de siècle s’est écoulé : l’espace d’une génération. Cette seconde production se situe moins dans la ressemblance avec la première, que dans sa descendance. En particulier pour les chanteurs : à l’exception de deux vétérans (Bernard Deletré et Nicolas Rivenq), aucun des nouveaux venus n’a participé à la première édition, ou n’y a même assisté comme spectateur – trop jeunes !

Sous la houlette de William Christie, patron des Arts Florissants, il y a passage de relais, des adultes d’hier à leurs cadets d’aujourd’hui. Le patrimoine génétique s’est transmis inchangé – même virtuosité, même érudition, même raffinement. Mais le sang s’est régénéré, suroxygéné par de nouveaux globules, rouge-vif.

Dans le rôle-titre, le ténor suisse Bernard Richter campe un bel indifférent fougueux, cachant mal sous un faux détachement le bouillonnement des sens, les affres du cœur. En Sangaride, la princesse destinée au roi Célénus, à qui elle préfère Atys en secret, la délicieuse Emmanuelle de Negri alterne émois de l’adolescence et gravité des déchirements précoces, des rêves trop tôt brisés. A l’écoute de leurs duos d’amour, si élégiaques, si désespérés, comment ne pas penser au Pelléas et à la Mélisande de Debussy et de Maeterlinck ? Le rapprochement qui s’impose entre ces derniers noms et ceux de Lully et de Quinault prouvent à quel point, en art, les chefs d’œuvre ignorent le découpage des siècles et se moquent des étiquettes esthétiques !

 

http://images.telerama.fr/medias/2011/05/media_68827/la-deuxieme-resurrection-d-atys,M53367.jpg

Atys (Bernard Richter) et Sangaride (Emmanuelle De Negri) : "Atys est trop heureux" / Photo : Pierre Grosbois pour l'Opéra Comique

Il faudrait citer tous les chanteurs, de la Cybèle racinienne de Stéphanie d’Oustrac – jalousie de Phèdre et fureur de Roxane – au chœur et aux seconds rôles tenus par les « jeunes pousses » du Jardin des Voix, cette pépinière de nouveaux talents sur laquelle William Christie veille en horticulteur jaloux (1).

L’orchestre des Arts Flo’ est lui aussi sous régime vitaminé, en particulier les pupitres de cordes, étoffés, renforcés par les instruments du Centre de Musique Baroque de Versailles. William Christie a revu ses tempi à la hausse : les mouvements rapides plus vifs, les modérés plus lents. Bercé par les flûtes, le célèbre « Sommeil d’Atys » s’étire jusqu’aux limites de la plus voluptueuse léthargie. Là encore, on cède à l’hypnose, on voudrait ne pas voir finir cette scène des « songes », dansée avec une grâce onirique par Gil Isoard. « Ce spectacle, nous confiait son metteur en scène, Jean-Marie Villégier, est appelé à une nouvelle vie » (2). Elle promet d’être longue.
Gilles Macassar

 

 

 

 

(1) Baroque Académie, William Christie et le Jardin des voix, 1 DVD Bel Air Classiques.

A voir
Atys, de Lully, les 16, 18, 19 et 21 mai à 19h30, à Paris (Opéra-Comique), tél. : 0-825-01-01-23 ; les 31 mai, 1er et 3 juin à Caen (14) ; les 16, 18 et 19 juin à Bordeaux (33) ; les 14, 15 et 17 juillet à Versailles ; les 18, 20, 21, 23 et 24 septembre à New York.
En direct sur Mezzo et Mezzo Live HD, le 21 mai,
En différé sur France Musique, le 4 juin.

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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 09:08

Bon alors... Diterzi , chanteuse pop, propose un spectacle  sur Rosa Luxembourg  révolutionnaire de la fin du XIXe/début du XXe siècle... sauf que ce n'est pas une comédie musicale (ouf !), pas non plus un concert, ou plutôt pas seulement... D'ailleurs, il vaut mieux dire : Rosa la Rouge, un spectacle de Claire Diterzi et Marzial di Fonzo Bo.

 

Donc dans un décor minimaliste, vaguement industriel, qui étrangement se marie très bien avec la salle roccoco du théâtre Molière, quatre musiciens, et quelques écrans mobiles sur lesquels seront projetés vidéos, extraits de films, images, pendant que sur la scène alternent chansons, musiques , extraits de lettres, textes.

 

Quatre musiciens seulement, mais beaucoup d'instruments, voire d'objets faisant office d'instruments, et beaucoup de styles musicaux évoqués. Mention spéciale d'ailleurs à l'ingénieur du son car le son était excellent de la plus tenue note de boîte à musique jusqu'à la plus énorme vibration de basse techno, sans cependant être jamais assourdissant.

 

Tout cela donne un spectacle ou se mêlent Théâtre, danse, art vidéo et musique bien sûr, portée par la voix splendide de Claire Diterzi, dont elle joue comme d'un instrument de plus en explorant toutes ses facettes.

Mais Rosa là dedans ? On est peut être loin de la figure historique, mais, à travers l'actualisation du personnage historique, à travers le va-et-vient entre elle et la femme présente sur scène, entre ses mots et ceux de Claire Diterzi, on a un portrait de femme, une évocation de la rebellion, et surtout des échos différents dans chacun des spectateurs.

 

Un projet fou que seule une artiste aussi atypique que Claire Diterzi pouvait porter aussi bien.

 

Par Eric Druart, Maison Des Savoirs d'Agde

 

Une évocation du spectacle :

 




 

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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 12:16

Transmis par la Médiathèque de Gignac :

 

Espace Culturel de Gignac  

Avenue du mas Salat - Gignac – 34150

 

Dimanche 24 octobre

18h

 

Roland Tchakounté

(Cameroun)

www.roland-tchakounte.com

 

Concert Blues – Apéro patio #17

8 € tarif unique avec un verre offert

 

Configuration du théâtre : Mixte, 2/3 debout, 1/3 assis 

 

Roland Tchakounté marche sur les traces des premiers bluesmen qui soignaient leur vague à l’âme 

en le mettant en musique, forts de la certitude que seul le blues est à même de guérir du blues.

 

Né au Cameroun, loin des champs de coton qui ont peaufiné le style de ses lointains ancêtres, 

il a commencé son apprentissage musical avec les percussions puis la guitare. Il s’initie ensuite au piano et à l’harmonica 

et fait ses premières expériences de groupe au Cameroun comme bassiste chanteur dans différentes formations locales,

spécialisées dans les reprises des chansons afro-américaines. (James Brown, Wilson Picket, Jimi Hendricks etc.) 

Il attrape le virus du blues en écoutant crawling kingsnake de John Lee Hooker et n'a désormais qu'un seul rêve, 

devenir Bluesman. Il réussi à créer une parfaite synthèse entre ses racines africaines, ses influences blues et la singularité 

d’interpréter son répertoire en « bamiléké », son dialecte maternel et sort en décembre 1999, « bred bouh shuga blues », 

album de sa révélation. S’en suit “Abango” un opus en duo acoustique enregistré en 2005 avec lequel il fait de nombreuses 

tournées notamment aux états unis (Chicago,Memphis), au Canada (Montréal, Mont tremblant) et en Belgique, en tandem 

avec son complice Mick Ravassat. En 2006 il fait la rencontre du batteur percussionniste Mathias Bernheim 

et l'intègre immédiatement dans l'équipe, séduit par son jeu, à la fois très simple et très efficace. 

'WAKA', son nouvel album sort en février 2008, marqué par un concert (sold out) au New Morning à Paris. 

Depuis, il sillonne à nouveau les routes du monde et sera présent sur les scènes en Belgique, au Canada, en Indonésie, 

au Viêt-Nam, en Malaisie, en Lituanie, en Croatie, en Afrique (Burkina Faso, Mali) mais aussi à Cognac, à Vaison la Romaine 

et dans d'autres villes de France. 

 

Roland Tchakounté qualifie sa musique de 'mélodie sauvage' servant à aborder des sentiments souvent tristes ou joyeux, 

mais aussi à exprimer l’état d’abandon dans lequel est plongé le continent africain. Il ne cache pas son admiration 

pour les artistes tels que Sun House, Robert Johnson, Edmore James, Muddy Waters, mais considère John Lee Hooker 

et Ali Farka Touré comme ses vrais maîtres. 

Utopique revendiqué, son désir est de rassembler l’espèce humaine au sein d’une seule et même grande famille 

sans distinctions de races ni de couleurs.

 

 

en 1ère partie

HOBO BLUES

Vainqueurs du Tremplin Blues-Qui-Roule 

lors du Festival des Deux Rivières 

à Belle Isle en 2009.

(Cahors Blues Festival, BluesPassions de Cognac, Terri’ Thouars, Grésiblues, Chédigny....)

www.hoboblues.fr

 

HOBO BLUES, c’est Marine et Antoine, un couple “à la scène comme à la ville”, 

qui, à l’image des hobos du siècle dernier, transporte sa musique.

 

Issus de la scène blues de Montpellier, ces musiciens autodidactes arpentent les routes de l’hexagone et de l’Europe 

depuis quelques années déjà ! Plus précisément, ils comptabilisent 10 ans de scènes partagées et quelques 400 concerts  

qui ont été chaque fois de nouvelles occasions de jouer “leur” blues et de le partager intensément

avec leurs différents publics.

 

Marine et Antoine assurent au cours de leur live à la fois guitares électro-acoustiques, guitare réso-phonic, harmonicas, 

kazoo, percussions diverses « home made », washboards, voix et chœurs, le tout avec une conviction  

et une énergie impressionnante.

La voix chaude et percutante de Marine accompagnée par le jeu très personnel d’Antoine garantissent à ce duo 

une personnalité unique.

 

 

 

Coup de cœur de ce début de saison, 

je vous engage à venir les découvrir si ce n’est déjà fait. 

Ils sont irrésistibles ! Chaleureux ! Le plaisir brille dans leurs yeux !

Ce fut un plaisir de les croiser et de les inviter.

 

Offrez un cadeau à vos oreilles ! Offrez un cadeau aux oreilles de vos proches 

& comme d’habitude, Accourez… 

Faites le plein de vitamines pour l’esprit !

Informez vos proches, vos amis, vos connaissances, par tous les moyens 

à votre disposition, bouche à oreilles, téléphone, mails, …

C'est bientôt !

                                                                                                            Gérard Labady

 

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 13:12

Par Cédric Libuda :

 

http://www.konzerthaus-dortmund.de/binary.ashx/select=E0E6/~image/198069

 

J'y étais ! Oui toutes les personnes présentes ce soir du 6 octobre au Corum de Montpellier  pourront dire qu'elles ont assisté à un concert exceptionnel : Cecilia Bartoli en chair et en os !

 

Les esprits chagrins arguaient que les enregistrements pouvaient être "arrangés" (6 millions de CD vendus, tout de même) mais nous étions plus de deux mille à l'entendre en direct et une conclusion s'impose : la Diva Romaine impressionne encore plus en direct.

 

Tout d'abord, une succession de costumes : entrée en bottes et cape de chevalier XVIIIe, chemise blanche pour l'humilité nécessaire aux airs calmes, plumes pour les airs de bravoure et mélange robe / pantalon pour souligner l'ambiguïté des chanteurs dont elle ressuscite le répertoire : les castrats.

 

Cecilia sur scène c'est tout d'abord une présence et un bagou qui lui met le public dans la poche en 30 secondes (cette façon de vous dévisager en soulevant les sourcils, elle chante pour vous : irrésistible !).

 

Ensuite, la cantatrice jongle d'une égale maîtrise avec les airs colorature et les lamenti, sa palette est vraiment complète. La virtuosité accompagnée de la plus extrême expression dramatique, un must.

 

A Montpellier, nous avons eu le privilège d'avoir une panne de courant (ou grève des techniciens ?) au milieu du spectacle et Cecilia poursuit son concert éclairée par des téléphones portables ! Incroyable !

 

Elle reprenait l'essentiel de son disque "Sacrificium" avec quelques inédits superbes : un superbe lamento extrait du Melope de Broschi et l'extraordinaire (Farinelli l'adorait) Cervo in bosco de Vinci, entre autres.

 

Beaucoup d’inédits dans les morceaux joués en interludes aussi : hélas trop courts, ils permettent néanmoins d'apprécier le talent des musiciens de La Scintilla, les ouvertures de Porpora  Germanico et Gedeone notamment.

Cet orchestre est d'ailleurs bien plus qu'un faire-valoir pour Cecilia : il la transcende dans les moments de virtuosité et dans les lamenti, il fait exploser tout ce que la pudeur de l'artiste retient d'une façon très émouvante.

 

Un concert, en résumé, absolument fabuleux et j'y étais !

 

NB : La vidéo n'est pas de moi, j'étais au sixième rang orchestre.

 

 


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23 juillet 2010 5 23 /07 /juillet /2010 11:55

Intermezzo tragique en 2 actes sur un livret de Marco Coltellini. Version concert. Création en France


Désirée Rancatore, Soprano, Tisbe
Vivica Genaux, Mezzo-soprano, Piramo
Emanuele d’Aguanno, Ténor, Le Père

Europa Galante
Fabio Biondi, Direction


Concert donné à l’Opéra Comédie de Montpellier dans le cadre du Festival Radio France Montpellier Languedoc-Roussillon.

 

En écoute : ICI

 



Desirée Rancatore Emanuele d'Aganno Fabio Biondi Europa Galante

 

 

 

Le Festival Radio France continue sa programmation d’œuvres rares avec cette création française de l’intermezzo de Hasse en version concert.

Elève de Porpora et A.Scarlatti en Italie, Johann-Adolf Hasse composera plus de 60 opéras-serias et jouira d’une immense renommée de son vivant ; Haydn et Mozart entre autres, l’admiraient  beaucoup.

 

La distribution de cette représentation était plus qu’alléchante : la magnifique mezzo Vivica Génaux dans le rôle masculin de Pirame, la soprane Désirée Rancatore dans celui de Thisbée et le jeune ténor Emanuele D’Aguanno dans celui de son père.

 

Inutile de revenir sur les sonorités magnifiques de L’Europa Galante, dirigée au violon par Biondi véritablement habité par la partition sublime au demeurant.

 

D’Aguanno montrait de belles capacités mais est un peu trop jeune pour le rôle de patriarche.

 

Désirée Rancatore, Sicilienne pulpeuse de 33 ans a deux arias de toute beauté où sa sensualité vocale peut s’exprimer pleinement.

 

Vivica Genaux au timbre délicieusement androgyne (et pour cause) a commis deux petits faux-départs, étonnant de sa part. C’est vite oublié tant la technique monstrueuse de la mezzo – certains ne supportent pas ses vocalisations aux lèvres très mobiles – font magiquement vivre le rôle de l’amant désespéré.

 

Au total, un moment de qualité pour une salle enthousiaste : quelle satisfaction de voir une salle pleine pour un auteur et une œuvre inconnus.

 

A la fin des applaudissements, Fabio Biondi s’empare de la partition et la soumet aux bravos : hommage amplement mérité au génie du trop méconnu Hasse.

 

 

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23 juillet 2010 5 23 /07 /juillet /2010 09:44

Une nouvelle chronique de Carine Magnoni de St Chinian.

 

Wax Tailor, encoreeeeeeeeeeee !!!!!!!!

Quel bonheur, ce petit frenchie qui nous fait nous trémousser, tout en changeant de cet électro au rythme un peu trop répétitif à mon goût.
Bien sûr, il a misé sur tous les hits de l’album ( Dragon chasers, No pity, Leave it ou I own you) et n’a pas lésiné sur les invités : les chanteuses Charlotte Savary et Dionne Charles, ainsi que Mattic.

C’est vraiment étrange de voir sur scène une section de cuivre, saxophone et trombone, une flûtiste et deux violoniste à côté de platines de mixage, mais quel régal ! Il serait revenu mixer après Jamiroquai jusqu’au bout de la nuit, j’aurai pas dit non.
Mais comme toujours le public attend la grosse star internationale, notre cher Jay Kay.

Il n’a pas changé, le couvre chef  traditionnel est de rigueur, version plume indienne pour l’été ! Lui aussi a enchaîné les valeurs sûres avec quand même un inédit de son prochain album, prévu pour l’automne.

Du bon groove, avec la voix afro-soul de Jay Kay, des rythmes syncopés, bref de quoi tenir tout le monde debout du début à la fin.
Un grosse soirée avec des arènes surchauffée.

 

 

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19 juillet 2010 1 19 /07 /juillet /2010 10:50

Une chronique de Carine Magnoni - Médiathèque de St Chinian :


" Les déferlantes d’Argeles, c’est chaud, c’est rock, c’est trop bon !!!

Le cadre : le parc du château de Valmy à côté d’Argeles sur mer, 35 degrés à l’ombre et des centaines de personnes qui dansent de partout de 17h à 2h du matin !


Côté artiste, ça défile des plus jeunes aux légendes : Pony pony run run, Izia, General Elektriks, Gossip Patti Smith, Iggy, Deep purple…il y en a pour tout le monde.


Dans la famille hystérique, je demande la fille Higelin, Izia ne dément pas à sa réputation de bête de scène, en plus elle a du attendre jusqu’à minuit et demi pour se défouler ! Je m’inquiéte un peu pour ses cordes vocales quand même !

 

Gossip aussi nous a fait une belle démonstration sur scène, avec un final a capella de Whitney Houston « I will always love you  ».


Dans la famille des rebelles, bien sûr Damien Saez, qui nous a fait une ouverture sans concession avec anarchitectures et  la reprise de la chanson des victoires de la musique 2009, spéciale dédicace pour Fabrice que  je n’ai pas croisé au concert, étrange ?!


Je souhaite quand même à tout ces p’tits jeunes d’avoir la patate d’Iggy dans quelques années !

Bref, ce festival est vraiment génial, d’ailleurs c’était complet les 3 jours. Par contre, il faut le mériter car Pony pony run run à 18h sous 35 degrés c’est pas facile quand même !"

 


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5 juillet 2010 1 05 /07 /juillet /2010 09:41

Vu sur le site d'Arte Live :

 

C'est assez rare pour être remarqué, la culture Hip Hop française s'exporte bien mieux qu'on ne le pense. Après avoir tourné et collaboré avec le groupe Vercoquin, M, Seb Martel ou Femi Kuti, Hervé Salters (a.k.a. Général Elektriks) part s'installer à San Fransisco en 1999 avant de travailler avec notamment Blackalicious au sein du mythique collectif Quanuum.

La particularité et le talent d'Hervé ? Une solide culture des claviers vintage qui font que l'on compare souvent sa musique aujourd'hui à Money Mark (le clavier des Beastie Boys). Et un spectacle assuré avec une solide réputation scénique de danseur derrière ses synthés. Le mariage prfait entre rock et funk  ?

 

 

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 13:00

Vu sur le site des Festes de Thalie / Orphéon:

 

Cet été, dans la superbe abbaye de Vignogoul, se tiendra un festival de musique ancienne et baroque :

 

 

 

 

 

 

 


 

 

des stages pour musiciens confirmés, des concerts gratuits tous les soirs du 28 juillet au 8 août et une superbe

 

exposition d'instruments anciens :

 

  • amati
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17 avril 2010 6 17 /04 /avril /2010 11:30



L’Opéra de Montpellier sera en travaux cet été jusqu’à décembre 2011, en attendant la venue de Jean Scarpitta à la direction de l’édifice.


D’après l’AFP, L’Opéra-Comédie, l’un des deux théâtres de l’Opéra de Montpellier, fera l’objet de travaux entre l’été 2010 et décembre 2011, avant l’arrivée du metteur en scène Jean-Paul Scarpitta à la direction de l’établissement, a annoncé le service de presse parisien de l’artiste.

Ce théâtre à l’italienne inauguré en 1888 accueillera encore une nouvelle production de La Traviata de Verdi signée par Scarpitta (du 30 mai au 9 juin), puis quelques concerts et représentations dans le cadre du Festival de Radio France et Montpellier en juillet.

L’Opéra-Comédie fermera ensuite pour 15 mois de travaux portant sur la cage de scène, qui va être entièrement détruite et refaite. L’autre théâtre de l’Opéra de Montpellier, l’Opéra Berlioz (Corum), restera ouvert durant cette période.

Jean-Paul Scarpitta, membre du comité exécutif de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy dont il est un ami, prendra en janvier 2012 ses fonctions de directeur de l’Opéra National de Montpellier Languedoc-Roussillon, où il est artiste en résidence depuis le début de la saison 2006-2007. Il succèdera au compositeur René Koering, surintendant de la musique de Montpellier, qui fêtera ses 70 ans le 27 mai.

Cet établissement, qui coiffe aussi l’Orchestre National de Montpellier, est l’un des cinq Opéras nationaux en région avec ceux de Lyon, du Rhin (Strasbourg, Mulhouse et Colmar), de Bordeaux et de Lorraine (Nancy).

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